L'insécurité pourrait aussi refroidir les aspirations des futurs infirmiers (photo d’illustration). • DR
Pour limiter les risques d’insécurité, les personnels de santé demandent l’application du protocole de sécurité de la profession et l’arrivée de « boutons d’alerte » géolocalisasés.
Suite à l’agression d’une infirmière libérale dimanche dernier à
Cabassou, la profession en appelle aux autorités, afin de tout
simplement pouvoir faire leur travail normalement. « Il
n’y a pas une semaine qui se passe sans une agression [qu’elle
soit] d’ordre verbal, physique ou matériel »,
assure Mylène Mathieu, présidente de l’Union régionale des
professionnels de santé (URPS). Pire, la situation n’a rien de
nouveau. Un protocole de sécurité a d’ailleurs été signé dès 2012
avec la préfecture et les forces de l’ordre, à la suite de...