Les coqs de Papaïchton : qui a le plus gros gosier ?
Gaëtan TRINGHAM, g.tringham@agmedias.fr
Dans les rues et dans les maisons, sur les arbres et sur les toits : les coqs de Papaïchton sont partout. Plus encore, ils chantent de jour comme de nuit et à toute heure. C’est le mystère de la capitale boni que l’on a voulu résoudre. Reportage.
Au début, on ne les remarque pas. La chaleur pesante du pays boni
prend le dessus lorsque l’on débarque à Papaïchton. Des habitants
passent devant en quad et vous saluent avec le sourire. Un premier
cocorico retenti au loin. Dans la foulée, un mâle au gosier encore
plus puissant rétorque. Rien d’anormal pour l’instant.
Il est l’heure de poser ses affaires à son carbet. Et encore une fois, chaque personne croisée vous saluera de cette même et agréable manière. Les coqs et les poules errent dans les rues à leurs côtés. Les galliformes se baladent tous comme ils veulent dans le bourg. Sans enclos et sans souci apparents. Mais en faisant le tour du centre, on se rend très vite compte qu’un nombre insensé de volailles se promène en réalité parmi les hommes. Comme s’ils menaient leur propre société à part entière. Certains sont seuls ou en couple. D’autres...
Il est l’heure de poser ses affaires à son carbet. Et encore une fois, chaque personne croisée vous saluera de cette même et agréable manière. Les coqs et les poules errent dans les rues à leurs côtés. Les galliformes se baladent tous comme ils veulent dans le bourg. Sans enclos et sans souci apparents. Mais en faisant le tour du centre, on se rend très vite compte qu’un nombre insensé de volailles se promène en réalité parmi les hommes. Comme s’ils menaient leur propre société à part entière. Certains sont seuls ou en couple. D’autres...
