Chronique de la misère, perdre sa vie pour la gagner

À Paramaribo, une femme de 42 ans, de nationalité dominicaine, est récemment morte sous les coups de couteau d’un pêcheur guyanien.
C’est vers quatre heures du matin que des cris en espagnol ont
retenti. Dans cette rue un peu marginale de Paramaribo, des dames
louent des chambres où elles vivent seules. C’est quand les
voisines se sont inquiétées de l’obscurité qui régnait dans celle
de leur collègue, qu’elles ont découvert l’horreur et que les cris
ont fusé pour appeler à l’aide.
Tuée par un client
Elle s’appelait Amaralaisy Altagracias Del Rosario Mejia, elle
avait 42 ans et avait quitté la République Dominicaine pour
travailler au Suriname. En découvrant le drame, les témoins l’ont
trouvé bâillonnée, son corps baignant dans le sang, recouvert
d’ecchymoses et avec la trace de deux coups de couteau dans le dos.
La police agira vite et rapidement arrêtera le coupable, un pêcheur
guyanien qui s’apprêtait à regagner son bord pour s’enfuir.
Activité risquée
Il y a peu, au mois de juin, c’est une femme brésilienne qui avait
été tuée dans des conditions semblables. Sans aller jusqu’à la
mort, les faits divers...