Une mobilisation qui a du mal à décoller

Depuis quatre ans maintenant que les Kali’na de Prospérité et leurs alliés épars - villages amérindiens, quelques militants écologiques - s’opposent à l’installation d’une centrale électrique, force est de constater que la mobilisation peine à s’élargir au-delà de sa base.
Les photos du mouvement de lutte contre la centrale de l’Ouest guyanais (CEOG) parlent d’elles-mêmes : une grande majorité d’Amérindiens, des Bushinengue et Créoles presque absents de l’image.