Congrès mondial de la Nature : La biodiversité et les droits des peuples autochtones
AU CŒUR DU PARC

Congrès mondial de la Nature : La biodiversité et les droits des peuples autochtones

S.B. (PAG)
Singes hurleurs © PV_PAG
Singes hurleurs © PV_PAG

Le Congrès mondial de la Nature de l’UICN (Union internationale pour la conservation de la nature) s'est achevé la semaine dernière. Il rassemble tous les quatre ans la communauté internationale - États, organismes gouvernementaux, ONG, organisations de peuples autochtones - pour guider les actions de préservation et de développement durable. Aux côtés d’autres institutions et associations de Guyane, le Parc amazonien a participé à cet événement, à Marseille.

 Ce grand rendez-vous des acteurs de la préservation de la biodiversité a été l’occasion pour le Parc amazonien de présenter les enjeux du Sud de la Guyane. Orpaillage illégal, pollution des cours d’eau, contamination au mercure, insécurité... Ce congrès a permis une nouvelle fois d’alerter les autorités sur les pressions subies dans les communes de l’intérieur.

Les axes de coopération avec les pays voisins, non seulement dans le domaine de la lutte contre l’orpaillage illégal mais aussi en faveur de la transmission culturelle ou de la gestion des aires protégées, étaient également au cœur des discussions. Il a enfin été question d’évoquer les relations homme-nature, « ces liens très forts entre les modes de vie et les ressources naturelles », complète Pascal Vardon, directeur du Parc amazonien.

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