La gendarmerie entendue sur l’orpaillage illégal

La gendarmerie entendue sur l’orpaillage illégal

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Site d'orpaillage clandestin, sur le mont Hocco, à Maripasoula, au mois de novembre (Pag)
Site d'orpaillage clandestin, sur le mont Hocco, à Maripasoula, au mois de novembre (Pag) • DR

La commission d’enquête sur la lutte contre l’orpaillage illégal en Guyane a procédé mardi à l’audition du général de division, Jean-Marc Descoux, commandant de la gendarmerie outre-mer (avaient été précédemment prévus le général d'armée Christian Rodriguez, directeur général de la gendarmerie nationale, puis le général de corps d'armée Bruno Jockers, major général de la gendarmerie nationale).

 L’officier général a détaillé l’action de la gendarmerie dans la lutte contre l’orpaillage illégal et son rôle dans l’opération Harpie aux côtés du parc amazonien, de l’armée et de la justice. En 2020, 1057 patrouilles et 856 patrouilles mixtes (armée, gendarmerie) ont mobilisé les personnels dédiés pendant l’équivalent de 18 000 jours. Au niveau des moyens humains, sur les 109 escadrons de gendarmes mobiles que compte la France, 20 sont stationnés en Outre-mer dont six en Guyane.

Le territoire dispose même d’une antenne du GIGN avec 56 effectifs....