La CPME obtient la levée des motifs impérieux, sitôt réimposés

Ce vendredi 23 juillet, à l’issue d’une audience au Tribunal administratif de Cayenne, son président a estimé que l’application de l’arrêté du 17 juillet produit par la préfecture représentait une atteinte aux libertés d’aller et venir ainsi que d’entreprendre. Pourtant dans la foulée, les services de l’État en Guyane ont produit un nouvel arrêté les rétablissant. En cause : des chiffres qui se sont dégradés. Me Christine Charlot, avocate de la confédération des petites et moyennes entreprises (CPME) à l’origine de cette saisine, nous explique cette situation. Entretien.