DÉYÈ MASK : "Avec très peu de vêtements et beaucoup de plumes"

C’est un fervent carnavalier ! Depuis qu'il a découvert l’université de Polina à l’âge de 25 ans, il ne lui a jamais été infidèle. Jean-René Veldwachter répond à notre interview Déyè Mask.
Que vous évoque le mot « carnaval » ?
La rencontre de la population diverse qui caractérise bien la Guyane. Durant ces deux mois, tu as toutes les communautés, toutes les classes sociales… Tout le monde se rencontre durant une période de festivité avec plusieurs mots d’ordre qui sont : partage, plaisir, amusement, et décompression.
Vous êtes aujourd’hui un grand habitué de Polina. Pourquoi ne pas avoir choisi Nana ?
À l’époque Nana était considéré comme le dancing des plus âgés.
Comment vous vous êtes initié au bal paré-masqué ?
Je l’ai découvert grâce à des amis qui m’ont poussé. ils me disaient que les Touloulous c’était génial, que l’on pouvait faire de belles rencontres. Avec toute cette magie qui m’avait été racontée, je me suis dit pourquoi ne pas essayer. Sans oublier les villages autour du dancing, on prenait le temps d’apporter...