« Ce bateau, nous aimons le présenter comme
une île ou comme une ville : nous utilisons différentes énergies
renouvelables qui nous donnent une autonomie complète. » Samedi
soir, Camille Rollin, membre de l'équipage en charge des ateliers
de réflexion pour le projet Race for Water, s'attelait à faire
visiter le navire aux intéressés et surtout, à les sensibiliser sur
la problématique des déchets plastiques.
Cette jeune femme de 34 ans, originaire de
Lyon, a participé au premier tour du monde sur ce bateau 100%
autonome avec la fondation en 2015. Elle explique : « Nous avons
prélevé des micro-particules de plastique dans les zones où les
courants marins rassemblent les déchets à la surface. Nous avons
constaté qu'il n'y a pas d'île...