Une drague à l'arrêt, un port ensablé un bateau échoué
GRAND-RIVIÈRE

Une drague à l'arrêt, un port ensablé un bateau échoué

B.-R. T.
Avant de lever la drague pour la mettre à terre, il a fallut dégager les barrages flottants à l'aide d'une pelleteuse ainsi que le sable qui l'entouraient.
Avant de lever la drague pour la mettre à terre, il a fallut dégager les barrages flottants à l'aide d'une pelleteuse ainsi que le sable qui l'entouraient.

Les ennuis se multiplient depuis plus d'un mois au port, après que l'avant de la drague, assurant le désensablement du chenal ait partiellement coulé laissant échapper plus de 500 litres de gazole.

Reposant quasiment sur un ban de sable, la drague a pu être dégagée au bout de plusieurs heures d'efforts.
Reposant quasiment sur un ban de sable, la drague a pu être dégagée au bout de plusieurs heures d'efforts.
Cet épisode s'est déroulé le samedi 24 novembre dernier et fort heureusement, les barrages flottants mis en place par les sapeurs pompiers ont empêché que la pollution aux hydrocarbures ne se propage au-delà de l'aire du port où était amarré la machine. Selon le propriétaire de la drague, Justin Ozier Lafontaine, « Il ne peut s'agir que d'un acte de malveillance, car les quatre ballasts disposés à l'avant de l'engin de dragage, sensés être...

Suivez l'info en temps réel
sur l'appli France-Antilles !

Télécharger