L'école de musique André-Pichon contrainte de revoir ses accords
BASSE-TERRE

L'école de musique André-Pichon contrainte de revoir ses accords

Yvor J. LAPINARD
Eugène Pommier et Thierry Parize, respectivement président et directeur de l'Emap, auront multiplié les échanges ces derniers temps, pour sauver la structure. (Y.J.L)
Eugène Pommier et Thierry Parize, respectivement président et directeur de l'Emap, auront multiplié les échanges ces derniers temps, pour sauver la structure. (Y.J.L)

La liquidation judiciaire de l'association gestionnaire de l'école sera effective dans quelques semaines, pour avoir connu de gros soucis financiers ces derniers temps. Les 236 adhérents n'ont cependant aucun souci à se faire.

Le tribunal de grande instance de Basse-Terre confirmera, le 30 avril, la liquidation judiciaire de l'association Docteur Pichon. C'est cette association qui gère l'école de musique André-Pichon (Emap), laquelle développe encore ses activités à la rue Maurice-Martin, à quelques pas du square Pichon et de L'Artchipel-scène nationale. Qu'adviendra-t-il des 236 adhérents de la structure et des 17 salariés et vacataires qui assurent les cours et l'administration de l'école ? Cette question a longtemps donné des sueurs froides au directeur de la maison, Thierry Parize, et au président Eugène Pommier. Aujourd'hui, ils sont sur le point de terminer un vrai parcours du combattant entamé il y a un an, passant par une procédure de sauvegarde, des périodes d'observation, des marathons entre différentes collectivités, des courriers, des rendez-vous ratés, des échanges houleux, la nomination d'un administrateur...

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