Covid-19 et soirée clandestine : « Moi je crois au couachi de mon jardin et en Dieu »

C’est une soirée DJ comme on en vivait, au temps béni d’avant la crise sanitaire. Une publicité de l’événement est diffusée sur les réseaux sociaux, avec un numéro de téléphone à contacter. Il faut alors appeler pour réserver sa place via la célèbre application de messagerie par internet. Ce n’est qu’au dernier moment que l’on est informé du lieu grâce à une localisation GPS. C’est une résidence privée. Il est 21h30 et sur place, le vigile contrôle les sacs et le droit d’entrée est payé en...
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1068 mots - 30.09.2021