ARABICA-RACIN'BEACH ou l'art du sacrifice
VOLLEY-BALL

ARABICA-RACIN'BEACH ou l'art du sacrifice

Henry TROBOR
Avant le coup d'envoi, l'Arabica redoutait la montée en puissance d'un Arsenal retrouvé. Pour éviter de douter, les joueurs ont pris le taureau par les cornes. Leur stratégie a payé : les Habissois ont décroché le titre de champion.
Avant le coup d'envoi, l'Arabica redoutait la montée en puissance d'un Arsenal retrouvé. Pour éviter de douter, les joueurs ont pris le taureau par les cornes. Leur stratégie a payé : les Habissois ont décroché le titre de champion.
Au terme d'un week-end pour le moins abouti, les Habissois ont décroché leur deuxième titre de champion. Deux matches leur ont suffi pour venir à bout de l'Arsernal.
« C'est notre week-end le plus abouti, déclare Marc Guilliod, dont la prestation lors du match aller n'est pas passée inaperçue. Ce n'est pas un joueur, mais toute l'équipe qui est allée chercher le sacre. Tout ce que nous avons mis en place est passé. Nous avons fini à une heure du matin, donc forcément, il y avait un peu de fatigue samedi, mais on était prêts. »
Vendredi, avant le coup d'envoi, les Habissois redoutaient la montée en puissance d'un Arsenal retrouvé. Pour éviter de douter, ils ont pris le taureau par les cornes. « Ce n'est pas l'Arsenal qui a déjoué, c'est nous qui avons nivelé notre jeu, reprend Guilliod. Il fallait être au combat, nous avons fait trois sets de folie et même lorsque l'on a mené deux à zéro, nous n'avons pas relâché. C'était la première fois que l'on battait l'Arsenal en trois...

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