Où étaient passés l'USR, sa défense et son
jeu, mercredi soir ?
(Rires). Disons que la belle contre l'AOG
en demi-finale a beaucoup pesé dans les jambes, mais il n'y a pas
que ça. On s'est relâché après la qualification et on a peut-être
pensé qu'ils allaient nous offrir le match, ce n'était pas le cas.
C'est surtout mentalement qu'on a lâché, on a été absent, on n'a
rien donné en défense. On a mis notre capital points habituel, mais
on était à la rue dans le secteur défensif. Au début, c'était assez
serré, il y avait la pression et l'envie de bien faire. Ensuite,
avec la fatigue, on était moins lucide et...