Manoelzinho ou le manque d'intérêt porté à la Guyane
On aurait pu croire que la Guyane était en guerre. Au plus fort de la crise déclenchée par les meurtres perpétrés à Dorlin, trois barrages filtrants étaient installés sur la RN2, tenus par des gendarmes, fusils mitrailleurs dans les mains. Ce dispositif est encore monté d'un cran quand une voiture a fait l'objet d'un tir d'arme de guerre, au soir du samedi 21 juillet. Décision fut prise d'escorter les automobilistes par les gendarmes, en convois, sur cette même RN2. Ces actions étaient...
France-Guyane
523 mots - 01.08.2012
Cet article d'archive est payant ou réservé à nos abonnés ayant un crédit suffisant