«Il est possible de faire une rentrée
scolaire économique. C'est le consommateur qui décide. On ne lui
impose pas des produits. On le laisse déterminer la catégorie dans
laquelle il veut acheter ses articles. Il garde son libre arbitre.
Il a le choix d'effectuer ou non tel ou tel achat », explique, non
sans humour, Jean-Marie Bréard, directeur adjoint de Carrefour
Destreland.
On le voit, à dix jours de la rentrée,
c'est difficile de circuler dans les grandes surfaces. Les rayons
de la papeterie, mais aussi ceux des vêtements sont encombrés de
caddies. On le sait et cela se répète d'une année l'autre : le mois
d'août est un mois fort pour les grandes surfaces. Les libraires,
qu'elles soient spécialisées ou qu'elles fassent de la presse et du
livre en temps courant, se mettent à l'air du temps: c'est 100 %
rentrée. Ces dernières semaines...