Le « Che » : théorie et pratique de la Révolution
CINEMA

Le « Che » : théorie et pratique de la Révolution

Benicio del Toro a été primé pour son incarnation du « Che »
Benicio del Toro a été primé pour son incarnation du « Che »

Steven Soderbergh signe le « Che » , porté par un Benicio del Toro littéralement habité par le héros révolutionnaire et récompensé par un prix d'interprétation au dernier Festival de Cannes. Le film, qui sort à Madiana, est la première partie d'un diptyque.

Voici sur les écrans de Madiana le premier épisode de la biographie consacrée à Ernesto Guevara : « Che, l'Argentin » . Le second film, « Che, Guerilla » devrait être proposé plus tard. L'ensemble dure au total plus de quatre heures. Cette « dichotomie » tient à la genèse de l'oeuvre. Car Soderbergh s'est d'abord intéressé à la fin d'Ernesto Guevara, en 1967, dans le maquis bolivien, où il fut capturé par l'armée après avoir tenté de créer un foyer révolutionnaire. Le réalisateur a expliqué en mai, à Cannes, qu'il avait réalisé que « pour comprendre la Bolivie, il fallait d'abord comprendre Cuba...

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