Yaël Nubret, bédéiste en herbe
PORTRAIT JÉNÈS AN NOU

Yaël Nubret, bédéiste en herbe

Estelle VIRASSAMY
Le jeune bédéiste aime mélanger la science-fiction, la fantaisie et l’horreur dans ses histoires.(Photo : Dominique CHOMEREAU-LAMOTTE)
Le jeune bédéiste aime mélanger la science-fiction, la fantaisie et l’horreur dans ses histoires.(Photo : Dominique CHOMEREAU-LAMOTTE)

Ce vendredi, nous inaugurons une nouvelle série hebdomadaire intitulée Jénès an nou. L'objectif : mettre en avant notre jeunesse qui a du talent. Dans ce premier numéro, rencontre avec Yaël Nubret, 15 ans, passionné de BD et lauréat du concours Caribulles 2017.

Âgé de 15 ans, Yaël Nubret est un adolescent comme les autres… ou presque. Une fois qu'il se sent à l'aise face à son interlocuteur, le jeune homme pourrait parler des heures de sa passion pour la bande dessinée. En novembre, Yaël a remporté le concours de bande dessinée organisé dans le cadre de la 8e édition du Caribulles, le festival caribéen de la BD, du manga et de l'album jeunesse, à Baie-Mahault. « Je devais créer une bande dessinée sans bulle. Avec tout le travail fourni, j’avais dit à mes parents que j’allais gagner le concours. J’étais motivé. Le plus dur pour moi a été de faire tenir mon histoire en 10 pages. »
Sa BD, intitulée La malédiction de la rivière, raconte les aventures du jeune Yec. Le jeune homme croise la route de sept sirènes qui lui offriront des pouvoirs pour maîtriser l’eau. Mais son parcours ne sera pas sans embûche, puisque « soukougnan »,...

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