Étreintes mazurkées
Zié dou, tout le monde danse et se transporte ailleurs. (Minos)
Dans la volupté de la danse, de Polina à Nana, ce sont les mêmes émotions qui se dégagent des pistes. La cavalière enlace et sa coiffe devient de plus en plus sophistiquée. La recherche ne donne que plus de beauté à l'évolution. Sous les masques, se profilent les regards espiègles dans une étreinte furtive anonyme. Coiffes et tentacules du samedi soir.
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