Disputée dans des conditions
météorologiques particulièrement mauvaises, la troisième manche du
championnat n'a pas donné l'occasion aux pilotes de totalement
s'exprimer. De l'avis général, il était temps d'assurer, marquer
des points et ne surtout pas casser. À mi-parcours et à quatre mois
de la Karujet, les techniciens se sont fait des cheveux blancs,
tout comme les pilotes. « Dans des conditions comme celles-ci, il
faut être en symbiose avec sa machine et son mécano! » , expliquait
Christophe Concoriet. Le Martiniquais a assuré en
remportant...