Si un silence religieux a accompagné la Marseillaise, c’était pour mieux laisser place à une aisance toute familière lors de la remise des diplômes. Le président de l’assemblée a égrainé lentement les noms, prenant le temps d’une photo, d’un sourire et d’une parole de bienvenue pour chacun des participants. « Être français, c’est avoir des droits, des devoirs mais surtout appartenir à une famille », a-t-il déclaré.
Quatorze nationalités d’origine étaient représentées dans l’assistance. Chacun des récipiendaires a manifesté autant de fierté que de reconnaissance envers cette nation française qui les a adoptés.