Qu'il s'agisse de la Martinique ou de la
France, on est depuis des années, c'est-à-dire depuis que nous
sommes entrés dans la phase aiguë de la crise du capitalisme, «
bombardés » de données qui ne cessent de dire la même chose tant en
matière d'emploi que de chômage. A savoir que la situation ne
s'améliore pas - ou se dégrade - (56 482 demandeurs d'emplois en
juillet 2013 contre 54 608 en juillet 2012 en Martinique et en
France, 17 800 de plus en novembre 2013, soit au total en décembre
2013, 4 876 000), même si épisodiquement une légère inflexion en
sens inverse, vient apparemment contredire le mouvement
général.
Ces inflexions, certains s'en emparent,
comme...
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