Marcel GERVELAS
Manipulations, mensonges, intimidations,
pressions... Ce sont les ingrédients du conflit opposant la
direction suédoise de l'hôtel Fort-Royal à une partie de son
personnel affilié à l'UTHTR-UGTG (1). Une partie suffisamment «
exploitée » selon le syndicat pour justifier le mouvement. Une
partie se réduisant à « une employée » , dit-on à la direction, et
qui n'empêche pas, en tout cas, le fonctionnement normal de
l'hôtel.
« Nous ne sommes pas en grève. » Vue
l'activité à la réception de l'hôtel, en ce vendredi après-midi,
veille de week-end de Pentecôte, on peut croire l'homme qui nous
accueille. Il s'appelle Jean-Pierre Nirelep, il est responsable de
la sécurité, mais il est surtout délégué du personnel. Cette
fonction est contestée par une partie du personnel et le syndicat
UGTG, au motif que son élection ne se serait pas déroulée
conformément...
La rédaction vous conseille
- Du 13 au 15 février, le Mondial du Rhum ouvre ses portes à Paris
- Dons de sangs rares : quel bilan en Guadeloupe ?
- "On va te décapiter" Christine Kelly revient sur les menaces dont elle a été victime
- Panne à Air Caraïbes : un seul vol prévu dans la journée
- En images. Le ti marché de Noël de France-Antilles