Au Vauclin, Nicolas estime les pertes de ses laitues à 40 %

Au Vauclin, Nicolas estime les pertes de ses laitues à 40 %

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En favorisant la prolifération de la cercosporiose qui attaque les plantations, la pluie a causé d'énormes pertes sur la plantation. Nicolas Résident n'a d'autres choix que de repiquer sur ses plants sur d'autres parcelles. (Photos FO/France-Antilles)
En favorisant la prolifération de la cercosporiose qui attaque les plantations, la pluie a causé d'énormes pertes sur la plantation. Nicolas Résident n'a d'autres choix que de repiquer sur ses plants sur d'autres parcelles. (Photos FO/France-Antilles) • FO

Après une longue sécheresse, c’est maintenant une pluviométrie excessive qui met en péril certaines exploitations. Nicolas Résident a vu sa production de laitue décliner avec une perte estimée à plus de 40 % à cause d’un champignon nommé cercosporiose.

Les agriculteurs doivent sans cesse composer avec le temps. Parfois c’est la sécheresse qui met à mal les exploitations, d’autre fois c’est l’excès d’eau qui détruit certaines récoltes. Au quartier Massel au sud du bourg du Vauclin, Nicolas Résident pratique sur 5 hectares des cultures vivrières, laitue, con-combres, bananes jaunes.

Il y a quelques mois de cela, ce jeune agriculteur voyait ses plantations décliner. Le barrage de la Manzo dont les eaux permettent d'irriguer le périmètre du sud-est ne pouvait plus subvenir aux besoins d’eau des agriculteurs. Les...

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