La partie s'est jouée sur deux temps forts.
Le premier favorable à l'USAC de Floréal qui exploite à bon escient
les maladresses adverses, le manque d'appui des positions
goldénistes, leur fébrilité caractérisée par un manque de
résistance sur les pressions exercées à l'extrême. Le second où le
Golden Star a joué à son véritable niveau, mettant en avant les
qualités individuelles et imprimant un rythme à la partie, dont les
conséquences indéniables ont jugulé autant l'ardeur des Floréalais
que leur propension à émerger.
Les joueurs de l'USAC conquérants à souhait
sur toutes les situations de la première période ont réussi à
contrarier le développement du jeu goldéniste, souvent porté par
des combinaisons de joueurs, certainement inhabituelles et où ils
ont peiné à trouver la bonne coordination pour résister à une
stratégie bien conçue.
La forte tonalité engagée par les joueurs
de l'USAC dont la pression vive a favorisé les situations pour
enclencher...