« Si Dominique Nicolas n'avait pas eu à
coeur de rapatrier les commandes publiques judiciaires en
Martinique, nous aurions très bien pu ignorer cet aspect
fondamental du paysage conflictuel martiniquais, qu'est
l'indivision » commente Me Séverine Termon. De fait, le nouveau
bâtonnier avait bien avant sa prise de fonction, déclaré la guerre
à cette habitude qui consistait pour les instances publiques
locales, à faire appel à des cabinets hexagonaux, pour régler leurs
litiges.
Dans son désir de mettre fin à cet état de
fait, Dominique Nicolas fait le tour des collectivités, pour
trouver un terrain d'entente. Et découvre que l'indivision et est «
Le » sujet récurrent auxquelles les collectivités ont à faire face.
Entre les « dents creuses » des bourgs et les terrains dont on ne
sait pas qui sont les propriétaires, la Martinique crouleraient
sous le poids des contentieux en succession indivise.
LA PREMIÈRE ÉTAPE D'UNE SÉRIE DE
RÉUNIONS
À ce véritable « constat de carence » ,
plusieurs causes....