Les débuts du Mayouri pou viv miyo

Les débuts du Mayouri pou viv miyo

O. C. & A. V.
Le Mayouri pou viv miyo doit permettre de donner la parole à toutes les parties. (O.C.)
Le Mayouri pou viv miyo doit permettre de donner la parole à toutes les parties. (O.C.)

Hier, le comité qui était à l'origine du mouvement social de novembre et décembre a continué ses consultations. Après une rencontre en matinée avec les syndicats, ils ont rencontré des élus. Aujourd'hui, ils prennent le pouls des associations.

Au fond du hall de l'hôtel Amazonia, assis sur un banc, Jean-Claude Ringuet, membre du collectif Dibout contre la vie chère, le journal dans la main. A ses côtés, Raymond Liabaste, président de l'Association des consommateurs en colère. Quelques mètres plus loin, Albert Darnal de l'UTG. Avec eux, une quinzaine de syndicalistes qui se réunissent pour voir s'ils peuvent s'entendre. Si nous sommes autorisés à prendre des photos, il n'est, en revanche, pas question d'assister à la rencontre qui a eu lieu hier. « Nous avons mis en place un Mayouri pou viv miyo (Mayouri pour mieux vivre, ndlr). Le but est de consulter tout le monde, les syndicats, les élus, les partis politiques, les associations, déclare Jean-Claude Ringuet. Après, on va analyser tout ça et mettre en commun ce qui peut l'être. » Pour l'UTG, qui a tenu une conférence de presse au préalable, élaborer « une plateforme de revendications » commune aux syndicats et aux...

Suivez l'info en temps réel
sur l'appli France-Guyane!

Télécharger