Mais ils ont laissé leurs compatriotes en leur disant que la vie devait suivre son cours. Par conséquent, les rendez-vous carnavalesques immanquables pour petits et grands, sont maintenus cette année, même s'ils devront s'adapter aux conditions sanitaires. Les groupes n'ont pas pu se préparer comme ils le font généralement de longues semaines avant le début de la saison. Pire, ils n'ont pas eu la possibilité d'organiser des manifestations leur permettant de financer quelques dépenses. Au point que certains devront carrément bouder la rue, faute de membres suffisamment mobilisés.
Qu'à cela ne tienne, les jours gras devront tout
de même être animés sur l'ensemble du territoire. Si, jusqu'ici
dans le chef-lieu, seule une poignée de groupes a pu véritablement
se montrer, ils devront être bien plus nombreux lors des défilés du
dimanche et du mardi gras.
Il y aura bien un défilé du Mardi gras à Basse-Terre
à l'invitation de la Fédération du carnaval et des fêtes de la Guadeloupe (FCFG ou la Fédé de Basse-Terre) ils étaient réunis, samedi dernier, le temps pour le président Fernand Sonor, le responsable de la commission sécurité, Roger Nangis et le président...