Pièces détachées auto : Renault répond en 5 points
AUTOMOBILE

Pièces détachées auto : Renault répond en 5 points

R. LAMY
Fabrice Langlois (à gauche), directeur commercial et Jérôme Chevauchet, directeur d'exploitation à Martinique Automobiles, assurent ne pas avoir attendu les grèves de 2009 pour travailler sur les prix des pièces autos de Renault. Ils ont lancé de nouveaux tarifs depuis août 2011.
Fabrice Langlois (à gauche), directeur commercial et Jérôme Chevauchet, directeur d'exploitation à Martinique Automobiles, assurent ne pas avoir attendu les grèves de 2009 pour travailler sur les prix des pièces autos de Renault. Ils ont lancé de nouveaux tarifs depuis août 2011.

Suite à notre dossier sur les pièces détachées automobiles (FA du 3 février), des responsables de Martinique Automobiles (1) expliquent le travail qui a été mené avec leur constructeur français pour lisser le prix des pièces.

1 Un statut particulier
Les distributeurs automobiles de la place sont liés par contrat avec les constructeurs dont ils commercialisent les marques. « Je ne connais pas un seul distributeur en Martinique, en Guadeloupe ou en Guyane qui soit concessionnaire. On est plutôt importateurs » , indique Jérôme Chevauchet, directeur du magasin pièces de rechange chez Renault. « Ce statut fait que l'on n'achète pas aux mêmes conditions qu'en métropole. On paie un tarif export déterminé par le constructeur, en fonction du parc, du volume des pièces, de la concurrence... Chez Renault Martinique, on commercialise l'ensemble de la gamme des véhicules et on se doit d'avoir l'ensemble des référentiels des pièces. Soit près de 250.000 références. Renault a 200 à 300 importateurs partout dans le monde mais pas 200 tarifs exports différents. Pour eux, on pèse très peu en terme de volume. Mais,...

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