« Le titre du France-Antilles du samedi 4
février, « Silence autour d'un viol au collège » semble mettre en
cause la démarche unanimement reconnue, qui fait que toute victime
d'un viol doit être protégée » , écrit le recteur d'académie,
Stephan Martens qui fait la lumière sur cette affaire et donne des
précisions quant à la démarche du rectorat.
« Les faits. Jeudi 2 février à 11 heures,
un viol a été commis par un élève mineur du collège, sur une jeune
fille mineure, en présence d'un camarade mineur lui aussi. Ceci
s'est passé pendant une course d'orientation, organisée par les
professeurs d'éducation physique, sur un sentier balisé déjà
utilisé sans souci l'an passé (environ 200 élèves, 7 enseignants et
2 surveillants). Des faits graves et regrettables, que
malheureusement l'Éducation nationale, et donc les chefs
d'établissement ont appris à gérer, et...