La filière équine se remet en selle

La filière équine se remet en selle

La majorité des centres équestres estiment que l'activité s'est dégradée ces dernières années. L'implantation de nouvelles structures a par ailleurs exacerbé la concurrence.
La majorité des centres équestres estiment que l'activité s'est dégradée ces dernières années. L'implantation de nouvelles structures a par ailleurs exacerbé la concurrence.

La filière équine présente un certain potentiel de développement. Mais elle a besoin d'un coup de pouce pour se stabiliser.

La Région a décidé de procéder au redéploiement de l'hippodrome Saint-Jacques (Anse-Bertrand) en vue de la création d'un pôle hippique polyvalent, en lieu et place de la structure existante. Un marché relatif à la mission de maîtrise d'oeuvre de la 2e tranche vient d'être validé pour un montant total de 1,3million d'euros. Ce coup de pouce bienvenu était très attendu par une filière équine prometteuse, mais qui, depuis quelques années, peine à se développer.
D'un point de vue économique, la filière équine n'est pas anecdotique en Guadeloupe. Elle génère du chiffre d'affaires et fait vivre (lire ci-contre) quelques centaines de personnes. C'est ce qui ressort de l'enquête réalisée par l'Observatoire économique régional, lancé par le Conseil du cheval de la région Antilles-Guyane. Mais cette étude, si elle dresse un état des lieux intéressant, pointe aussi du doigt des freins au développement...

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