TWIRLING-BÄTON.
Jean-Patrick Rousset, président de la Fédération francaise est
accompagné de Milène Jacquin, secrétaire générale. Ils seront en
visite officielle jusqu'à samedi. Cette visite a, entre autre, pour
objectif de tisser des liens avec les structures en charge du
développement du sport en Martinique, et de préparer la création de
la future Ligue, celle de Guadeloupe existe depuis bientôt 10
ans..
N'est-ce pas utopique de vouloir
populariser le twirling-bâton quand on sait que la gymnastique a du
mal à percer ?
Certaines personnes peuvent le penser. Mais
nous qui avons décidé de proposer cette activité sportive aux
jeunes Martiniquais et nous croyons fermement qu'il y a un public
intéressé. C'est certes moins connu que l'activité majorettes mais
c'est un challenge que nous allons relever. Il y a deux ans nous
avons décidé d'officialiser notre action auprès de la Fédération
nationale avec laquelle nous avions déjà des contacts. Nous avons
pour cette année 70 licenciés alors que nous en avions prévu 30.
Avec ce départ nous ne pensons pas que ça soit utopique. Nous
voyons que le twirling bâton a un avenir et grâce aux différentes
rencontres que nous faisons il y a de plus en plus de filles mais
aussi de garçons très intéressés. Je pense que nous serons
facilement au cours de cette année 2010 à plus de 100
licenciés.
Y a-t-il une différence entre
twirling-bâton et majorettes...