Félix Cottelon, président de l'association Rèpriz : « Le gwoka à l'Unesco, ça permet une visibilité du patrimoine »
POINTE-À-PITRE

Félix Cottelon, président de l'association Rèpriz : « Le gwoka à l'Unesco, ça permet une visibilité du patrimoine »

Propos recueillis par Harry MAPOLIN
Felix Cottelon projette le film réalisé sur la présentation du dossier à l'Unesco.
Felix Cottelon projette le film réalisé sur la présentation du dossier à l'Unesco.

Au local de l'association Rèpriz, rue Dubouchage, le président Félix Cottelon s'apprête, une fois de plus, à partir en campagne, avec deux membres de son équipe, pour expliquer l'inscription du gwoka au patrimoine immatériel de l'humanité, de l'Unesco. Il fait le bilan des trois années passées.

Cela fait trois ans que vous avez obtenu l'inscription du gwoka au patrimoine immatériel de l'Humanité, quel bilan en tirez-vous aujourd'hui ?
L'inscription du gwoka au patrimoine immatériel de l'humanité n'était pas une fin en soi. C'était avant tout dans l'intérêt du gwoka et de la Guadeloupe. Il s'agissait de sensibiliser les gens sur la nécessité de sauvegarder le patrimoine immatériel de la Guadeloupe qui était en danger.
En quoi ce patrimoine était en danger ?
Nous sommes partis du constat que contrairement à l'Europe, nous n'avons pas de monuments historiques. Notre patrimoine culturel est arrivé en mémoire et a été transmis de génération en génération de manière orale. Il risquait...

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