Bien attacher son enfant en voiture, c'est le sauver
PRÉVENTION

Bien attacher son enfant en voiture, c'est le sauver

Valérie DURU
RAPPEL. Pas plus tard que samedi dernier, Thierry Vadimon tenait un stand à Destreland lors de la Journée mondiale des premiers secours (notre photo). L'occasion de rappeler la législation sur les sièges auto. (M.A.)
RAPPEL. Pas plus tard que samedi dernier, Thierry Vadimon tenait un stand à Destreland lors de la Journée mondiale des premiers secours (notre photo). L'occasion de rappeler la législation sur les sièges auto. (M.A.)
A près la mort du bébé Mendjy (10 mois), qui a succombé à ses graves blessures à la suite d'un accident de la route (lire ci-dessus), le président de l'association Niels, Thierry Vadimon, réagit. « Pas pour incriminer encore plus le conducteur (son papa). » Thierry Vadimon ne connaît que trop la douleur de perdre un enfant. Lui-même a perdu un fils dans un accident il y a 13 ans. « Niels avait 4 ans. » Ce que Thierry Vadimon veut que les gens comprennent, c'est que transporté dans les bras de sa maman, à l'avant du véhicule, Mendjy n'avait aucune chance de survivre en cas d'accident. Ou bien risquait au minimum de graves séquelles. « Au moment de l'impact, la maman ne peut pas le retenir. C'est impossible. »
DES SIÈGES ADAPTÉS
Il faut savoir que le risque d'être éjecté hors de la voiture ou de s'écraser sur le pare-brise est multiplié par 6 ou 7 pour un enfant non attaché. Pour une collision à 50 km/h, le poids est multiplié par 30. Un jeune...

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